Devant la chambre 031 [Fini]

Une fois aux dortoirs. Junko lui avait rapidement montré les bains et l'espace détente. En chemin il apprit le nom de son mystérieux compagnon. Ils arrivèrent dans le couloir où toutes les chambres se trouvaient.

-Tsubasa Nao c'est bien ça ? ... Alors sur la liste tu étais donc indiqué chambre 031... Hum voilà ...

La porte était ouverte. La pièce était vide, Nao serait donc seul résident dans cette chambre pour le moment. L'endroit était plutôt modeste, avec deux lits simples, des tables de chevets, et une armoire. Junko avait de légers vertiges, mais il continua ses courtes explications:

-Donc comme tu le vois, tu es seul, tu peux mettre tes affaire comme tu veux et....

Junko fut alors pris de terribles maux de tête (mwahaha), il s'accroupit serrant sa tête entre ses mains, comme pour catalyser la douleur. Puis il réalisa la situation, il n'était pas seul. Il devait alors s'éloigner le plus rapidement possible de Nao et tout autre personne. Il se releva d'un coup sec', et essaya de marcher tout en titubant.
Mais il ne pu faire que quelques pas, il se trouvait donc ainsi toujours dans le couloir des chambres et retomba sur ses genoux...

Cet personne est pas si mal que cela, je ne pensait pas me faire des amis, dés mon arrivée, je suis plutôt content. J'avais appris son nom en passant, Junko Saiga, un nom que je ne vais pas oublier de sitôt. Il n'avait montrer les endroit différent du pensionnat .

Puis on fut vite arrivé devant les chambres, il m'indiqua alors le numéro de celle ou j’allais logé, ma fois pour le moment j'était seul. J'entrais alors pour poser mon sac sur un lit, lui été toujours à l'entrer de la porte. J'avais choisi comme lit celui qui été prêt de l'armoire, pas que je sois feignant j'aime juste ne pas trop me casser la tête.

- Merci encore pour ton aide !

J'allais commençais à posé mes affaires dans l'armoires comme il me l'indiquer, quand je le vis titubé, je cru tout d'avoir qu'il avait trébuché. Je voulu m'approcher de lui, mais le jeune homme avait déjà tenter de s'éloigner. Pour tomber non loin de la chambre à genoux. Paniqué, je me rapproché encore du jeune homme.

- Que se passe t'il ?

Junko semblais souffrir, et moi j'était la comme un gros con à ne savoir que faire ? Il souffrais peut être de migraines synchronisé ? Que faut'il faire ? Le Conduire à l'infirmerie au plus vite ?

*Nao concentré toi, c'est vraiment pas le moment de paniqué !*

je m'apprêtais à l'aider alors à se relevait !

-Oya oya ~ ♪ ...

Junko prit d'apuie le bras de Nao pour se relever. Un sourire au coin, il le regarda fixement dans les yeux, la main toujours posée sur le bras du cher Köhai. Puis il serra son emprise, de plus en plus fort...

- Tu as vraiment une jolie p'tite bouille en y regardant de près ... Veux tu jouer ?

Junko se rapprocha encore plus de lui, et le fit reculer jusqu'à ce qu'il arrive enfin à le plaquer contre le mur. Avec son autre main il lui attrapa ces cheveux pour lui bloquer la tête. Couper dans son élan, Jun vît un groupe d'élèves arriver, pas que ça le dérangeait qu'on le voie comme cela, mais il lâcha malgré tout son emprise, recula et se mit à rire:

- Tu devrais voir ta tête ... Hey ... Ne l'prends pas mal ... On va dire que c'était ... Du bizutage ?! Voilà !

Puis il continua à rire, d'une rire malsain.... Une fois le groupe d'élèves passaient, Junko se plaça devant la porte de la chambre de Nao et décréta :

- Je n'irais pas en cours aujourd'hui, voudrais-tu bien me tenir compagnie ?

Je ne comprenais pas du tout sur ce cou la ? Il venait de me plaqué contre le mur, je suis de nature peut robuste, et face à un homme plus âgés que moi, je peine bien souvent à résister. Mais cette fois ci, c’était plus grave, je savais bien que je n’aurais jamais du venir ici. Comme si j’avais eu le choix. Je viens de me faire avoir, piégé comme un rat. Sa m’apprendra à faire confiance…

Heureusement pour moi un groupe d’élèves passe, il me relâche. Mais pour combien de temps, j’ai cru qu’il allait m’arracher la tête. C’est pas possible, cela ne peux pas être la même personne, juste avant il était limite impassible. Maintenant on croirait à un vrai psychopathe ou alors il c’est royalement fichu de moi. Les élèves passé, il se met à la porte de la chambre, comme si j’allais jouer avec lui. La salle de bizutage elle n’est pas ici !

- Bien sur, tu viens juste de me sauter dessus, tu espérais que je te suive ? Tu à vraiment un sérieux problème.

Je pense que je l’ais un peut trop provoquer, il se rapproche dangereusement de moi, sans perdre se sourire sadique qui me font frissonnais de partout, pas comme si j’avais jamais vécus cela, ce n’est pas la première fois. Mais je lui tenais tête restant droit sans bouger, sans reculer, le dévisageant d’un regard noir.

- C'est quoi ton problème ?

Junko continua son avancée vers Nao, mais tout en gardant ses limites. Il ne voulait plus lui faire vraiment peur... plus pour le moment du moins. Il s'arrêta à un mètre de lui, sourit et lui dit:

-Si j'ai un problème ? On me l'a assez répéter comme ça, tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ... Aaah~ que c'est barbant, que c'est barbant ♪ ... Hum, un problème dis-tu ? Je n'en vois aucun, toi oui ?
je t'ai simplement dis, que je voulais rester avec toi, pour sympathiser, voilà. Après tout je viens de te consacrer une bonne partie de mon temps libre, alors que j'aurai très bien pu refuser de te guider. Et toi voilà comment tu me remercies ... Aah je suis peiné ...

Junko fit un tour sur lui même, puis s'amusa à mordiller son bâton de sucette, pour finalement le jeter par terre. Il regarda alors Nao, et prit un air plus doux:

-Oh, désolé pour ton bras tout à l'heure... Juste les vertiges qui m'ont demandé appel à un appui... Et je n'ai pas su contrôler ma force, sorry ... Tu sais, les bizutages sont raides ici, j'ai eu bien pire moi ...

*mensonge*

-Arf' encore désolé Nao ... Mais je sais ce n'est pas une excuse valable.... Haah' .... Je peux quand même rester avec toi ? ~

Je ne savais quoi répondre, il ais vraiment étrange. Si cela été un piège dans le but de me faire entrer pour mieux me toucher, je ne sais quoi faire. Mais je n’ais pas envi de l’écouter, même si il m’a accordé de son temps je ne pensais pas qu’il y aurait un échange…De plus il semble même s’excusé pour mon bras. Je l’avais oublié celui la avec la peur.

- T’amuser avec moi ? Je te trouve trop presser, tout à l’heur du semblais ailleurs, tu as mis quoi dans ta sucette tu cracks ?

Sa semble le faire plus rire que autre chose ? Je ne sais pas quoi faire, sur le cou, de plus je ne voie plus personne dans les couloires, et je ne veux pas me défilé ni même tournais le dos à ce mec.

- Pas que je ne veux pas t’accorder du temps, mais tu me semble bien louche tout à coup, tu penses faire quoi ? Une fois dans la chambre…Ce n’est pas la première fois, je le connais le piège !

Je reprends mon souffle, faudrait pas qu’il ais des doutes !

- Je ne sais pas…J’aimerais dire oui

Junko sourit. Se retira ensuite de l'entrée de la chambre. Et se plaça à quelques mètres de Nao.

*Oh pas si bête le p'tit nouveau ... ça change des autres.... Mais s'il a peur de moi maintenant je
ne pourrais plus rien faire avec lui prochainement. Hinhin~ Bien mettons le en confiance petit à petit...*

-Hum. Il semble que je t'ai effrayé ... Et je suppose que plus j'insisterai, plus je m'enfoncerai. Je vais donc m'arrêter là. Désolé Nao-chan ~.
J'vais donc te laisser ranger tes affaires. Si tu as besoin de quoique ce soit demande autour de toi, ne perds pas ton temps à me chercher. Ne t'inquiètes pas,
les gens ici sont plutot correct. Bye bye...

Junko ramassa la bâtonnet de sucette qu'il avait jeté précédemment, et le mit dans la poubelle se trouvant à l'entrée du couloir des chambre. Il jeta un dernier regard amical à Nao, puis sortit du couloir.

Je ne sais toujours pas si je dois, je veux dire, cette ruse je la connais que trop bien. Mais dans un sans, je ne connais personne, si je peux me faire comme ami quelqu’un qui à pas mal d’influence, je pense que cela ne serais pas plus mal. J’eu le temps de juste lui dire.

- Je voie désoler de t’avoir mal jugé…Merci de m’avoir aidé tout à l’heure

J’entre en douce dans la chambre et je commence à faire mes affaires, j’ai laissé la porte ouverte, il n’ais pas parti bien loin de tout façon. Peut être qu’il va revenir, je n’aime pas me retrouver seul, même si je préfère l’être que mal accompagner. Mais je repense à ce type, il ais vraiment étrange. Tout à l’heure il été super cool, puis d’un coup il se met à faire comme un malaise…pour finir, je ne le reconnais plus ?

Peut être qu’il caché des choses ? Ou il ais simplement le même mais il se familiarise vite avec les nouveau ?


Je fini de ranger les dernière affaire, je veille à ne pas tout mélanger, l’ordre ce n’ais pas trop mon fort, même si chez moi, j’aime bien que tout sois à sa place. Enfin lorsque je vivais chez moi, sa fait bien longtemps que je n’ais plus de domicile fixe.

- Oh j’aurais du lui demander ou se trouver ma classes…merde !

J'avais enfin mis chemise blanche, je me hâtais pour aller dans le couloir lorsque mon pied se heurta a quelque chose ? Un paquet de bull gum ? Il ne l'aurais pas fait tomber tout à l'heure lorsqu'il à fait son malaise ? Je m'en vais alors dans le couloir pour apperçoir Junko...Il devrais revenir le chercher ? Cou de chance je le voie, il n'était pas très loin, je viens vers lui...

- hummm tu as oublier cela

je lui tend son paquet à moitier ecrasé

Junko le regarda surprit, il ne s'attendait pas à revoir si vite Nao, et surtout .... son paquet de chewing-gum ....:

-Il est vide. (j'ai dit plus haut qu'il n'en avait plus xD)

Un petit silence apparu alors. Junko rigola, et cette fois-ci se fut naturel, ce qui dans un sens, le choqua lui même.

*Qu'est'c'qui me prend ?*

Junko se reprit, et regagna son air provocateur de tout à l'heure.

-Eh bien merci pour le déplacement quand même, ça partait d'un bon sentiment je présume...Mais je suis au regret de te dire, que je dois te laisser Nao-chan. Mes cours vont commencer.
Au plaisir de revoir ta ravissante p'tite bouille ♪

*...maintenant que je connais le numéro de ta chambre, et ton nom de famille....*

Junko lui fit son sale sourire en guise d'au revoir, et repartit les mains dans les poches. Les gens autour de lui s'écartaient...